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En l'absence de consignes du défunt, doit-on pouvoir prélever ses organes sans le consentement des proches ?
REPLAY - Découvrez les sujets qui seront abordés dans l'émission "Les auditeurs ont la parole".
Seul le don d'organes est autorisé en France (photo d'illustration).
Crédit : Brendan Smialowski - AFP
L'Assemblée Nationale planche actuellement sur le projet de loi santé de Marisol Touraine...est notamment examinée la question du don d'organe. Et un des amendements au texte fait débat. Il propose que seules les personnes explicitement inscrites sur le registre national des refus soient exclues des prélèvements.En cas de consentement présumé, les familles et les proches ne seront plus consultées mais simplement informées de l'opération.
Invités du débat de RTL Midi :
- Cédric Emile de la Fondation Greffe de vie
- Régis Quéré, coordinateur des prélèvements d'organes à l'hôpital Necker, à Paris.
Faut-il sanctionner le racolage des prostituées ?
Le nouveau superbonus accordé pour l'achat d'une voiture "propre" zéro CO2 entre en vigueur aujourd'hui. En échange : il faut vous débarrassez de votre vieille voiture diesel de 13 ans minimum....Vous toucherez 10 000 euros.
Ce super-bonus vient en complément des autres aides déjà existantes et une prime de 500 euros pour les ménages les plus modestes est également mise en place.
10 000 euros de prime pour un véhicule propre, cela vous parait-il incitatif ? La rédaction de RTL vous invite à voter et donner votre avis à la question du jour.
Ivresse et "binge drinking" en nette hausse chez les jeunes (Inpes)
Les ivresses et les beuveries express (binge drinking) sont de plus en plus fréquentes chez les jeunes, et les filles sont en train de rattraper les garçons, selon des données chiffrées rendues publiques mardi par l'Institut national de prévention et d'éducation pour la santé (Inpes).
En 10 ans, la part des 18-25 ans qui ont connu au moins une ivresse dans l'année est passée de 33% à 46% tandis que ceux qui en ont connu au moins trois a presque doublé, de 15% à 29%.
Alors que les ivresses et les beuveries étaient autrefois plus courantes chez les jeunes hommes, les jeunes femmes sont désormais de plus en plus concernées. C'est notamment le cas des ivresses répétées (au moins trois ivresses dans l'année) chez les étudiantes dont le nombre est passé de 8% en 2005 à 19% en 2010 et 28% en 2014.
Nous attendons vos commentaires et vos avis.
