En Direct
1 min de lecture
EN IMAGES - Procès du Carlton : qui sont les protagonistes de l'autre affaire DSK ?
EN IMAGES - L'un des procès de l'année s'ouvre ce lundi 2 février à Lille. Les juges auront la lourde tâche de faire la lumière sur ce qui ressemble à un complexe réseau de proxénétisme.
-
Dominique Strauss-KahnCrédits : KENZO TRIBOUILLARD / AFP -
Dominique Alderweireld, dit Dodo la SaumureCrédits : FRANCOIS LO PRESTI / AFP
-
Béatrice Legrain, ancienne escort et compagne de "Dodo la Saumure"Crédits : DENIS CHARLET / AFP
-
René Kojfer, responsable des relations presse du Carlton (capture d'écran)Crédits : BFM TV
-
Francis Henrion (à droite), le directeur de l'hôtel CarltonCrédits : DENIS CHARLET / AFP
-
Fabrice Paszkowksi, ami proche de DSK et membre du PSCrédits : PHILIPPE HUGUEN / AFP
-
Jean-Christophe Lagarde (à gauche), commissaire de police (capture d'écran)Crédits : AFP
-
Emmanuel Riglaire, avocat au barreau de LilleCrédits : PHILIPPE HUGUEN / AFP
-
David Roquet, ici représenté par son avocat, Eric Dupont-MorettiCrédits : CHARLY TRIBALLEAU / AFP
-
Plusieurs escort girls, dont "Aurélie", "Marion" et "Jade"Crédits : AFP
Après deux longues années d'instruction, les protagonistes de ladite affaire du Carlton de Lille seront présentés au tribunal correctionnel de la ville, ce 2 février. Une affaire compliquée dans laquelle comparaissent près d'une quinzaine de prévenus et dont l'objectif premier est de connaître le degré d'implication de chacun dans un réseau de proxénétisme tentaculaire.
La plupart des prévenus sont des notables du Nord, issus de différents corps de métier. Avocats, entrepreneurs en bâtiment, policiers et bien évidemment hôteliers, tous sont soupçonnés d'avoir participé ou facilité l'organisation du réseau, des deux côtés de l'Atlantique.
Les avocats de DSK maintiennent leur ligne de défense
Pour les deux magistrats lillois en charge de l'instruction, Stéphanie Ausbart et Mathieu Vignau, tout l'enjeu sera de faire la distinction entre les faits répressibles pénalement et ceux moralement discutables. C'est d'ailleurs sur ce point litigieux que les avocats de Dominique Strauss-Kahn ont prévu d'insister.
Du luxueux hôtel lillois à Washington en passant par Paris, les parties fines auraient eu lieu pendant de longs mois, à l'initiative d'entrepreneurs voyant la création du réseau comme un pari sur l'avenir, un investissement à long terme, mis à mal par la chute précipitée de DSK, après l'affaire du Sofitel.