La finale de la Coupe Davis entre la France et la Suisse
débutera aujourd'hui à 14h par un match entre Jo-Wilfried Tsonga, numéro 1
français et 12e joueur mondial, et Stan Wawrinka, numéro 2 suisse et numéro 4 à
l'ATP. Tsonga mène 3-2 dans leurs confrontations (1-1 sur terre battue en
cinq sets).
Ce sera ensuite au tour de Gaël Monfils (19e mondial)
d'entrer sur la terre battue de Villeneuve d'Ascq pour y défier Roger
Federer. Le numéro 1 helvète (2e mondial) sera normalement bien présent dès le
premier jour de cette finale. Il était en tout cas présent lors du tirage
au sort et s'est à nouveau entraîné jeudi matin, semblant plus à
l'aise que la veille.
Toutefois, la Suisse peut encore décider de le remplacer au
plus tard une heure avant le début du match, après constat d'une blessure par
un médecin assermenté, si blessure au dos il y a. Face à Monfils, Federer
mène 8-2, et 3-0 sur terre battue en cinq sets.
Samedi (15h30), lors du double, Gasquet devrait faire
équipe avec Julien Benneteau face à une paire composée de Marco Chiudinelli et
Michael Lammer. Mais les deux capitaines ont là aussi jusqu'à une heure
avant le début du match pour changer leur composition d'équipe.
Ainsi, il est possible que Gasquet soit associé à Tsonga du côté français, et
que Federer et Wawrinka soient alignés côté suisse, si leur condition physique
le permet, et en fonction des résultats de vendredi.
La France essaiera de décrocher la dixième Coupe Davis de
son histoire, son dernier sacre remontant à 2001. La Suisse n'a encore jamais
remporté le Saladier d'argent, et a disputé une seule autre finale, en 1992.
Invité de RTL MIDI à 13h10 : le tennisman Michaël
Llodra, notre consultant RTL pour l’événement.
Sanctionner l'usage de cannabis par une contravention, l'idée revient sur le devant de la scène avec un rapport parlementaire qui préconise cette solution, mais ses auteurs sont partagés sur l'expérimentation d'une salle de shoot.
Constatant que la politique de prohibition adoptée par la France depuis 1970 n'a pas empêché la hausse de la consommation de drogues, les deux auteurs d'un rapport d'information parlementaire, la député socialiste Anne-Yvonne Le Dain et son collègue UMP Laurent Marcangeli, s'accordent "a minima" sur l'idée de "contraventionnaliser" l'usage de cannabis, ont-ils expliqué jeudi, lors d'une conférence de presse.
L'idée de transformer le délit d'usage de cannabis, -théoriquement sanctionné par un an d'emprisonnement et 3.750 euros d'amende-, en contravention, n'est pas nouvelle. La gauche et la droite l'ont déjà proposée à tour de rôle.
La convergence des positions s'arrête là: alors que Mme Le Dain propose de "réfléchir à rendre légale la consommation de cannabis pour usage privé pour les adultes" et même "d'instituer une offre réglementée du produit sous le contrôle de l'Etat", le député UMP s'oppose "à toute dépénalisation". "Quelle que soit la drogue, dit-il, la mesure d'interdit doit être maintenue".
Autre point de "divergence totale", l'expérimentation de salles de consommation à moindre risque -ou salles de shoot-, destinées à accueillir des toxicomanes très désocialisés qui se droguent dans la rue, prévue dans le projet de loi Santé qui doit être examiné début 2015 à l'Assemblée.
Faut-il autoriser la vente de cannabis sous contrôle de l'Etat ? La rédaction de RTL vous invite à voter et donner votre avis à la question du jour !
Meilleure prévention du décrochage scolaire, seconde chance pour ceux qui ont abandonné l'école sans diplôme ni qualification: le gouvernement lance un plan de lutte contre un phénomène qui affecte 140.000 jeunes chaque année.
C'est le deuxième plan contre le décrochage depuis l'élection de François Hollande, qui a promis de le diviser par deux pendant son quinquennat et à demandé à "être jugé sur ce résultat". Il finira de se déployer à la rentrée scolaire 2016 avec la généralisation de "pratiques vertueuses" préalablement expérimentées, à quelques mois de l'élection présidentielle.
Ce plan sera détaillé lors d'un déplacement du Premier ministre Manuel Valls, de la ministre de l'Education nationale Najat Vallaud-Belkacem et du secrétaire d'État à la Réforme de l'État Thierry Mandon, dans un lycée professionnel de Lens (Pas-de-Calais).
Sont considérés comme décrocheurs ceux qui ont quitté le système scolaire sans qualification équivalente aux Baccalauréat, CAP ou BEP. Le gouvernement évalue à 620.000 les jeunes de 18 à 24 ans dans ce cas.
"Ce chiffre de 140.000 décrocheurs annuels "est insupportable", le décrochage signifie pour un jeune "ne pas maîtriser son destin, le subir, et se retrouver au chômage", mais "aussi, pour beaucoup, dans la pauvreté voire la grande pauvreté, donc il fallait que les pouvoirs publics agissent", a expliqué Mme Vallaud-Belkacem sur RTL.
Nous attendons vos commentaires et vos avis. A vous de jouer !
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