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A-t-on les moyens de surveiller tous les jihadistes et terroristes potentiels ?

REPLAY - Découvrez les sujets qui seront abordés dans l'émission "Les auditeurs ont la parole".

Un gendarme de la Brigade Départementale de Renseignements et d'Investigations Judiciaires (illustration)
Crédit : DENIS CHARLET / AFP
LES AUDITEURS du 23/04/2015
00:31:53
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A-t-on les moyens de surveiller tous les jihadistes et terroristes potentiels ?

Cinq attentats, dont celui "évité" dimanche à Paris, ont été déjoués "ces derniers mois", a déclaré ce matin Manuel Valls qui a défendu le projet de loi sur le renseignement. 
   
En décembre dernier, le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve avait déjà annoncé que cinq projets d'attentat avaient été déjoués depuis août 2013. 

"La menace n'a jamais été aussi importante, nous n'avons jamais eu à faire face à ce type de terrorisme dans notre histoire", a soutenu le Premier ministre, à grand renfort de chiffres: "1.573 Français ou résidents en France sont recensés pour leur implication dans ces filières terroristes." 
   
"442 se trouvent sans doute actuellement en Syrie, 97 y sont morts. La plateforme d'appel permettant aux citoyens de signaler des cas de radicalisation a enregistré déjà plus de 2.600 signalements, 630 ont été jugés très sérieux et examinés par des services spécialisés", a listé le locataire de Matignon. 


A-t-on les moyens de surveiller tous les jihadistes et terroristes potentiels ?

Invités du débat de RTL MIDI : Georges Fenech, député UMP du Rhône et membre de la commission d'enquête sur la surveillance des filières et des individus djihadistes, et Eric Denécé, directeur du Centre Français de Recherche sur le Renseignement.

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Migrants en Méditerranée: un plan très difficile à mettre en oeuvre

Les dirigeants de l'Union européenne se réunissent en urgence aujourd'hui pour trouver des solutions au problème des migrants  en Méditerranée, mais les dix actions envisagées sont "compliquées à mettre en oeuvre", selon de nombreux responsables interrogés.
  
Le plan soumis par la Commission européenne est la copie des actions proposées en 2013 après un naufrage près de l'île italienne de Lampedusa. Elles  n'ont jamais été mises en oeuvre. "Il ne comporte aucune nouveauté car les problèmes sont toujours les mêmes: comment agir avant, pendant et après la traversée", a expliqué une source européenne. 
  
Les dirigeants européens doivent se prononcer sur une opération militaire, pour "identifier, capturer et détruire les bateaux avant qu'ils ne soient utilisés par les trafiquants".
  
Citée comme modèle, Atalante, l'opération menée par l'UE contre la piraterie au large de la Somalie, a été autorisée par le gouvernement somalien et est couverte par une résolution des Nations unies. Lancée en 2008, elle ne s'est attaquée aux navires pirates dans les ports que trois à quatre ans plus tard.
  
La saisie et la destruction des embarcations utilisées par les passeurs peut en revanche être réalisée lors de l'intervention en mer pour sauver les migrants.


Migrants : faut-il détruire les bateaux des passeurs ? La rédaction de RTL vous invite à voter et donner votre avis à la question du jour !

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Cancer du sein : le poids des frais médicaux non remboursés

Les frais non remboursés liés à un cancer du sein sont très élevés,  particulièrement en cas de reconstruction mammaire, et représentent un fardeau financier pour beaucoup de femmes, souligne une étude publiée par la Ligue contre le cancer.

Ces "restes à charge" fragilisent "les femmes les plus modestes et leurs familles"  et "creusent un peu plus les inégalités face au cancer", a déclaré Jacqueline Godet, présidente de la Ligue à l'occasion de la publication de cette étude.

Selon cette étude, 54%  ont eu des difficultés pour faire face aux frais restant à leur charge après avoir subi une mastectomie. Ce "reste à charge" se monte en moyenne à 456 euros à la suite de l'ablation (consultation psy, séances de kiné, pharmacie, crèmes pas remboursées pour les cicatrices ou pour l'achat de soutien-gorges adaptés) et à 1391 euros lorsqu'elles ont recours à une reconstruction mammaire.

Pour la reconstruction, ces frais sont jugés inacceptables par plus de 4 femmes sur 5. Pour près d'une femme sur 2, la reconstruction mammaire ne devrait occasionner aucun reste à charge.

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