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"Une Ambition intime" : la mort de Seguin, "c'est comme perdre son père", regrette Fillon

L'ancien premier ministre a évoqué l'ex-président de la Cour des comptes, dont il avait fait l'éloge après sa disparition, le 7 janvier 2010.

François Fillon le 15 septembre 2016 à Pacé, près de Rennes.

Crédit : JEAN-FRANCOIS MONIER / AFP

Ludovic Galtier

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C'est le "deuxième mentor" en politique de François Fillon. Philippe Seguin a beaucoup compté dans la vie politique de l'ancien premier ministre de Nicolas Sarkozy. Interrogé par Karine Le Marchand dans Une ambition intime sur M6, ce dimanche 6 novembre, il a été très atteint lorsque l'ex-président de la Cour des comptes est décédé le 7 janvier 2010. La voix tremblante, c'est lui qui a prononcé un discours funèbre à l'Assemblée nationale. "On était trois ou quatre autour de lui à penser qu'il pouvait prétendre à un destin national, à la présidence de la République", raconte-t-il.

François Fillon n'a "pas eu le temps" de dire au revoir à Philippe Seguin, disparu prématurément. "C'est comme perdre son père", lâche-t-il ému, se souvenant de ses "pics de colère" avec nostalgie. C'est donc en toute logique qu'il choisit Philippe Seguin, s'il avait la possibilité de téléphoner à une personnalité défunte en cas de victoire en 2017. "J'entends déjà son rire tonitruant ou alors sa dérision", s'amuse le candidat à la primaire de la droite.

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