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Nathalie Kosciusko-Morizet, invitée de RTL, le 5 décembre 2014
Crédit : Charline Buda / RTL.fr
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Nathalie Kosciusko-Morizet a pris du galon à l'UMP. Nommée à la vice-présidence du parti par le nouveau président jeudi 4 décembre, la candidate malheureuse à la mairie de Paris assure qu'elle "n'a pas demandé de poste". "J'ai apporté mon soutien à Nicolas Sarkozy avant même qu'il annonce sa candidature", rappelle NKM.
"J'avais envie de participer à la construction d'une ligne politique ouverte", explique la numéro 2 de l'UMP, ajoutant "le débat n'est pas clos" au sein de sa famille politique.
Invitée à réagir sur les positions de Laurent Wauquiez, tout juste nommé secrétaire générale par Nicolas Sarkozy, NKM estime qu'il incarne "une ligne politique plus droitière". "Il y a eu des discussions vives", raconte l'ancienne ministre, qui ne manque pas de préciser que le député-maire du Puy-en-Velay est "numéro". Selon elle, "les sujets [de divergence] doivent être tranchés par les militants".
"Je pense qu'il faut un chef", a-t-elle ajouté, refusant de se livrer à un quelconque pronostic pour 2017. "Nous aurons des primaires", a-t-elle simplement commenté.
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