De l'affaire Bygmalion aux soupçons de financement libyen pour sa campagne de 2007, le nom de Nicolas Sarkozy apparaît dans plus de sept dossiers judiciaires. Un angle d'attaque largement utilisé par ses détracteurs et opposants.
Mais, invité du 20 heures de France 2 ce dimanche 21 septembre, Nicolas Sarkozy a balayé d'un revers de main toutes les accusations qui pourraient lui être faites à ce sujet.
Si j'avais la moindre chose à me reprocher, si j'avais peur, est-ce que je reviendrais ?
Nicolas Sarkozy
"Si j'avais quelque chose à me reprocher, croyez-vous que je reviendrais ? Si j'avais la moindre chose à me reprocher, si j'avais peur, est-ce que je reviendrais ?", a-t-il asséné à Laurent Delahousse.
L'ancien président a affirmé qu'il répondrait "à toutes les questions, à toutes les convocations". Et de rappeler qu'il a été blanchi dans les affaires Bettencourt et Karachi. Quant au fait qu'il ait été placé sur écoutes, Nicolas Sarkozy s'indigne : "Dans quel pays vivons-nous ? (...) J'aurai plus de compassion désormais et j'attendrai, avant de juger, d'être sûr qu'une personne est accusée pour ce qu'elle a fait et non pour ce qu'elle est."
Bien qu'il sous-entende avoir subi un acharnement judiciaire, l'ancien Président dit avoir confiance en la Justice. Et finalement, il utilise même sa situation pour apparaître comme "le seul [homme politique] à avoir été examiné sous toutes les coutures". Laissant entendre qu'il n'aurait rien à cacher.
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