1 min de lecture

Nicolas Sarkozy sur RTL : "Je ne me donnerai pas le ridicule d'attaquer François Fillon"

REPLAY - INVITÉ RTL - L'ancien chef de l'État a répondu à l'attaque de François Fillon, lors de son discours de rentrée du 28 août.

Nicolas Sarkozy le 29 août 2016

Crédit : Romain Boé / Sipa

Nicolas Sarkozy : "Je ne me donnerai pas le ridicule d'attaquer François Fillon"

00:01:30

Burkini : "Il faut changer la Constitution", estime Nicolas Sarkozy

00:05:37

Nicolas Sarkozy, invité de RTL le 29 août 2016

00:14:56

Loi sur le burkini : "Il faut changer la Constitution", martèle Nicolas Sarkozy

00:00:26

Nicolas Sarkozy sur RTL : "Si je perds la primaire, je ferai partie du rassemblement"

00:01:21

Nicolas Sarkozy sur RTL : "Une baisse d'impôts et des charges de 34 milliards d'euros dès juillet 2017"

00:04:24

Laurent Gerra face à Nicolas Sarkozy : "Oui Nico c'est moi, non je n'ai pas changé"

00:04:11

Nicolas Sarkozy sur RTL lève le mystère autour du "T" rouge de "Tout pour la France"

00:00:46

"Si nous ne faisons rien, c'est l'ensemble de notre agriculture qui s'effondre"

00:03:08

Nicolas Sarkozy : les heures supplémentaires défiscalisées, c'est "travailler plus pour gagner plus"

00:02:05

Burkini, heures supplémentaires, primaire à droite : l'intervention de Nicolas Sarkozy en quatre points

00:02:41

Nicolas Sarkozy : "On changera la Constitution" pour permettre une loi sur le burkini

00:15:05

Ludovic Galtier

Je m'abonne à la newsletter « Politique »

Elle était attendue. Mais sa candidature à la primaire de la droite a bouleversé la rentrée politique. Ce week-end les premières attaques ont déjà fusé entre les prétendants à l'investiture. François Fillon - "un bon Premier ministre" concède Nicolas Sarkozy - a clairement ciblé celui qui l'a nommé à Matignon en se demandant : "Qui imagine un seul instant le général de Gaulle mis en examen ? Il ne sert à rien de parler d'autorité quand on n'est pas soi-même irréprochable".

Au micro de RTL, l'ancien chef de l'État a préféré jouer la carte de l'apaisement. "Les primaires, ce n'est pas une procédure à laquelle les électeurs de la droite et du centre sont habitués. Ils ont peur que la droite revienne à ses démons de la division. Je ne me donnerai pas le ridicule d'attaquer celui avec qui j'ai travaillé pendant cinq ans." À en croire Nicolas Sarkozy, les attaques personnelles, venant de sa part, seront prohibées. "Je m'y engage d'autant qu'après les primaires, il va falloir rassembler tout le monde et qu'il y aurait un parfait ridicule de se déchirer sous les yeux ébahis des Français (...) pour appeler ensuite dans un bal des hypocrites à se retrouver sur une tribune."

S'il ne souhaite pas critiquer ses concurrents à la primaire, Nicolas Sarkozy a livré un argument bien à lui pour expliquer cette attaque de François Fillon, qu'il avait qualifié de "collaborateur" pendant son mandat. "Je pense qu'il y a une liaison entre les chiffres que vous publiez et la nervosité ambiante."

La rédaction vous recommande

L’actualité par la rédaction de RTL dans votre boîte mail.

Grâce à votre compte RTL abonnez-vous à la newsletter RTL info pour suivre toute l'actualité au quotidien

S’abonner à la Newsletter RTL Info