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Marion Maréchal-Le Pen, au "Grand Jury", le 17 avril 2016
Crédit : : RTL / William ALIX / SIPA PRESS
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Marion Maréchal-Le Pen n'est pas "Nuit Debout". La député Front national du Vaucluse accuse le mouvement, né des contestations contre la loi Travail le 31 mars, d'être une "contestation médiatique artificielle" : "Je vois surtout une poignée de professionnels de la politique, beaucoup de militants associatifs, syndicalistes..."
Le mouvement ne représente "rien ni personne" selon elle : "Ce sont des jeunes lycéens, étudiants, qui fument des pétards, qui cassent à l'occasion quand ça leur fait plaisir, lance-t-elle. Ils sont déjà en train de penser à leur allocations chômage, alors qu'ils n'ont pas encore travaillé. C'est soi-disant démocratique alors qu'on crache sur Alain Finkielkraut."
Marion Maréchal-Le Pen juge que la colère est "légitime" mais nuance sur ce que ces jeunes représentent. "Ce sont 'des' jeunes, pas 'les' jeunes, selon elle. L'échantillon de personnes qui se mobilisent est dérisoire." Si elle ne pense pas qu'il faille interdire le mouvement, elle "condamne très fermement le laxisme et la mansuétude" de l'État vis à vis des casseurs. "Le gouvernement est mal à l'aise car c'est son réseau", insinue-t-elle en évoquant les militants d'extrême gauche sur place.
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