1. Accueil
  2. Actu
  3. Politique
  4. Le plan vélo d'Anne Hidalgo sous le feu des critiques

1 min de lecture

Le plan vélo d'Anne Hidalgo sous le feu des critiques

REPLAY - Pour Alexis Brézet du "Figaro", la démarche de la maire de Paris concernant les transports est avant tout idéologique.

Anne Hidalgo à Séville le 19 mai 2017.

Crédit : RAUL CARO/SIPA

Le Mag Pol du 08 octobre 2017

00:25:21

Philippe Robuchon

Je m'abonne à la newsletter « Politique »

Elle a parlé du budget, du logement et du rôle des collectivités locales, à son sens pas assez prises en compte par l'exécutif. Invitée du Grand Jury RTL, LCI/TF1 et Le Figaro ce dimanche 8 octobre, Anne Hidalgo a répondu aux questions de Benjamin Sportouch pour RTL, Alexis Brézet pour Le Figaro et Christophe Jakubyszyn pour LCI/TF1. La maire de Paris a aussi consacré une large partie de son temps de parole à défendre son plan vélo pour la circulation dans la capitale, cible de nombreuses critiques formulées par ses détracteurs.

"La pollution ça tue", a-t-elle martelé, évoquant un sondage selon lequel 60 à 70% des Parisiens et habitants de la métropole soutiennent son action à l'endroit des transports. "On ne parle jamais assez d'eux, et ils sont plus nombreux", a défendu l'édile, réfutant toute idéologie ou dogmatisme dans son entreprise. Pour Christophe Jakubyszyn, Anne Hidalgo fait "la politique de son électorat". Alexis Brézet juge que sa démarche est avant tout idéologique. "Elle dit : 'Oui il y a beaucoup de critiques mais ces critiques sont celles d'une minorité idéologique, méchante, de droite, réactionnaire [...] Au-delà de la pollution, on ne veut plus de la voiture individuelle parce que c'est un signe de propriété. Donc une voiture électrique qui ne pollue pas, eh bien on n'en veut pas", analyse l'éditorialiste.

"L'idéal post-marxiste c'est la voiture autonome", renchérit Christophe Jakubyszyn. "Il n'y a plus de voiture, il n'y a plus de propriété, c'est la voiture de tout le monde, pour tout le monde." Pour Benjamin Sportouch, il faut reconnaître que la première magistrate de Paris a des convictions. "Ça peut être bizarre, dans des temps où tout est transpartisan, où la gauche et la droite pour Emmanuel Macron, c'est la même chose. Eh bien non, c'est vrai qu'elle est droite dans ses bottes". À ses détracteurs, elle répond "Moi, j'ai fait la politique pour laquelle j'ai été élue", estime le journaliste du service politique de RTL.

La rédaction vous recommande
À écouter aussi

L’actualité par la rédaction de RTL dans votre boîte mail.

Grâce à votre compte RTL abonnez-vous à la newsletter RTL info pour suivre toute l'actualité au quotidien

S’abonner à la Newsletter RTL Info

En Direct

/

Bienvenue sur RTL

Ne manquez rien de l'actualité en activant les notifications sur votre navigateur

Cliquez sur “Autoriser” pour poursuivre votre navigation en recevant des notifications. Vous recevrez ponctuellement sous forme de notifciation des actualités RTL. Pour vous désabonner, modifier vos préférences, rendez-vous à tout moment dans le centre de notification de votre équipement.

Bienvenue sur RTL

Rejoignez la communauté RTL, RTL2 et Fun Radio pour profiter du meilleur de la radio

Je crée mon compte