Le Premier ministre, Manuel Valls, avait estimé, après les attentats qui ont fait 17 morts en France, qu'il existant un "apartheid territorial, social et ethnique" en France.
"Lorsque j'entends le Premier ministre s'en prendre à Nicolas Sarkozy, je dis que cela ne va pas dans le bon sens. Il a eu parfaitement raison de dire que les propos de Manuel Valls constituaient une faute grave car l'utilisation du mot apartheid est un amalgame insupportable et presque infamant pour le pays", réagit Brice Hortefeux.
L'utilisation du mot 'apartheid' est un amalgame insupportable et presque infamant pour le pays
Brice Hortefeux
Selon l'eurodéputé UMP, "la langue française est riche il faut l'utiliser avec justesse et acuité. Ce qui n'a pas été le cas". Et de préciser que ces propos n'avaient rien à voir avec les anciens dérapages reprochés à Nicolas Sarkozy car les mots étaient prononcés lors d'un discours officiel et institutionnel. L'utilisation du mot "racaille" relevait, elle, d'une réponse particulière.
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