VIDÉO - Zoella, 24 ans et millionnaire grâce à Youtube
VIDÉO - Grâce à ses tutos mode et maquillage sur Internet, la jeune Anglaise aux 7,3 millions d’abonnés gagne très bien sa vie.
Des dizaines de looks travaillés, des extraits de reportages télévisés et des séquences de bêtisier, le tout sur une musique survoltée, bienvenue sur la chaîne de Zoella, la dernière star de YouTube venue tout droit d’Angleterre.
À seulement 24 ans, la jeune femme fait les gros titres de la presse britannique, non pas pour sa dernière vidéo mais pour un petit plaisir qu’elle vient de se faire : une maison d’une valeur d’un million de livres Sterling (1,4 million d’euros environ), sur la prisée cote de Brighton, au sud de Londres.
Depuis maintenant 6 ans, Zoe Sugg de son vrai nom, s’est bâti une communauté de fans fidèles, avides des conseils qu’elle prodigue sur sa chaîne YouTube. Comment sublimer son regard à l’eyeliner, quelle robe porter lors d’un printemps anglais ou comment s’offrir la dernière coupe de cheveux à la mode, voici le genre de vidéos que publie la jeune femme.
Et si la jeune femme peut aujourd’hui s’offrir un tel cadeau, c’est que ses vlogs (contraction de vidéo et de blog) fascinent. Avec plus de 7 millions d’abonnés sur YouTube et quelques douze millions de vues mensuelles sur sa chaîne, elle fait partie des voix qui comptent pour les publicitaires.
Résultat : Zoe travaille à plein temps sur ses productions audiovisuelles, facturant parfois jusqu’à 25.000 euros mensuels aux annonceurs, qui se bousculent pour lui faire porter leurs vêtements ou évoquer leurs produits.
Avant d’avoir soufflé ses 25 bougies, Zoella a déjà créé une ligne de produits de beauté, publié un best-seller regroupant ses conseils, signé un contrat avec la BBC Radio 1 et donc acheté une petite bicoque avec son petit ami, un autre Youtuber dans le vent, Alfie Deyes, 21 ans et 3,7 millions d’abonnés.
Devenue une véritable personnalité médiatique en Grande-Bretagne, invitée des émissions de télévision comme des magazines, la jeune femme pourrait bien susciter quelques vocations de notre côté de la Manche.
