Isabelle Morini-Bosc : "Antoine Griezmann et Olivier Giroud sont des héros"

Si, histoire de jouer, on se faisait un petit point détente, comme ça ? Voire même, un petit "point G" ? Entendons-nous bien, rien d'égrillard là-dedans, vous allez voir. Il s'agit seulement de trouver l'identité de "héros", actuellement cités "partout par tous". Oui, si j'avais un goût immodéré pour les devinettes, je vous demanderais les noms qui, selon vous, sont les plus souvent répétés ces jours derniers. Tous types de médias confondus. Allons, je vous aide : il s'agit de sportifs ! Avec eux, les hommes aimeraient faire des couvertures et les femmes aller dessous ces couvertures (si on respecte les codes traditionnels!). 

Vous ne voyez toujours pas ? Ne cherchez pas du côté des mannequins ou des acteurs : c'est plutôt sur petit écran que, en ce moment, vous admirez ces virtuoses. Très exactement depuis le 10 juin dernier et, si la chance est avec eux, au moins jusqu'au 10 juillet. Cela y est, ça vous éclaire ? Et oui, il est question des beaux gosses Griezmann et Giroud, les "GG" (prononcez Gégé !) quasiment en couple sur le terrain, si j'ai tout compris ! À en croire les commentaires sportifs, ces deux-là ont une complicité sans faille.

Entre eux, c'est apparemment "le pied", un pied d'or sur la pelouse s'entend, et leur festival de "cannes" est tellement au point que même moi, de temps à autre, j'observe leurs gambettes au "jarret haut placé". En termes de boucherie, il n'y a pas à dire et rien à redire, c'est du premier choix. Les crampons, ça leur fait une belle jambe, et cette belle jambe pourrait leur permettre d'avoir bientôt le "bras long" côté carrière. C'est tout le mal qu'on leur souhaite, tant ils semblent attachants. À l'opposé des divas du ballon rond dont le public se passe manifestement facilement pour l'instant. 

Un duo en or

Oh, bien sûr, Olivier Giroud a plus de tatouages sur les bras que les produits de grande surface ont de codes-barres sur l'emballage, mais il a, dit-on,  la tête au bon endroit, c'est-à-dire sur les épaules. C'est aussi le cas à première vue (et même après on l'espère) pour Antoine Griezmann, sans doute aujourd'hui responsable de la calvitie de plusieurs patrons de clubs. Doivent en effet être en train de s'arracher les cheveux ceux-là mêmes qui refusèrent naguère de l'engager à cause de sa petite taille. Avant de recopier cent fois cette phrase de Coluche : "La bonne taille, c'est quand les deux pieds touchent le sol". Surtout quand on sait s'en servir. 

Pourquoi parler exclusivement de ces deux-là ? À  cause de leur "entente professionnelle fusionnelle. Et parce que leur taux de notoriété a explosé, comme le fait une bouteille d'Orangina trop secouée. Pas question d'écrire une suite qui n'est pas encore vécue, mais je leur souhaite doublement de "garder les pieds sur terre" (c'est mieux au foot !). En leur conseillant de "consulter" le 3ème "G", David Ginola. J'ignore si leur aîné est un modèle d'ascèse côté mode de vie, mais une chose est sûre, il est toujours là, et toujours séduisant "de face et de fesses". Il fait par ailleurs du si bon travail sur M6 que l'écouter peut-être "enrichissant" (!). On laisse donc nos "3 G" se parler... Faire le point. G, forcément.