Il y a beaucoup d'hommes dans la vie de Carla Bruni. Mais en fait, il n'y en a qu'un : c'est son père Alberto Bruni Tedeschi, grand patron industriel de Turin. Il est riche, mais il n'aime pas l'argent. Il aime la beauté, les opéras, les œuvres d'art, les porcelaines de saxe, sa femme qui est pianiste concertiste et ses enfants qui sont tous beaux. Carla est la petite dernière.
Elle veut être Marie Curie ou Madame de Maintenon. Surtout, elle veut plaire à papa. "Toute ma vie, j'ai cherché à attirer son attention", dit-elle.
C'est l'époque où elle collectionne les amants célèbres : Louis Bertignac, Florent Pagny, Eric Clapton, Mick Jagger... "Je suis une chatte, une amadoueuse, une Italienne". Pour Donald Trump, elle dément. Mais Laurent Fabius, ce n'est pas faux.
Son père, qu'elle adore, disparaît en 1996. C'est un choc. Doublement. Car avant de mourir, il lui révèle un secret : il n'est pas son père biologique. Son père s'appelle Maurizio Remmert. Quand il a connu Marisa Bruni, il avait 19 ans, elle en avait 35 et elle était la maîtresse de son père. "Ne dites pas à votre mère que je le sais, ça va la vexer", c'est ce que dit Alberto Bruni à ses filles à la fin de sa vie.
Carla Bruni assure que cela a constitué un immense soulagement pour elle, le contraire d'un traumatisme : "C'est même comme ça que j'ai su que c'était vrai : tout était plus lumineux". Elle n'en a donc voulu à personne. Ce père biologique, elle l'a rencontré, depuis. Il est restaurateur au Brésil. "Je lui ressemble beaucoup", décrit-elle.
Elle ressemble un peu à sa mère, aussi. En tout cas, elle a vécu la même histoire. En 2000, elle s'affiche avec l'éditeur Jean-Paul Enthoven. Ils sont invités dans le riad de Bernard Henri-Lévy à Marrakech. Carla Bruni plante alors son amant pour partir avec Raphaël Enthoven, le fils. Il est alors marié avec la fille de "BHL", Justine Levy, qui en fera un livre assassin.
Carla Bruni en fera une chanson, l'un des tubes de son premier album : "Quatre consonnes et trois voyelles... C'est le prénom de Raphaël". Autre chanson, autre homme : Quelqu'un m'a dit a peut-être été inspiré par Charles Berling. Tout cela, c'est du passé. Voilà presque dix ans que son Raymond est Nicolas Sarkozy. Enfin, allez savoir avec quelqu'un qui a dit, un jour : "Je suis monogame... de temps en temps".
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