Dans les sorties cinéma de ce 19 novembre, on retrouve le très attendu troisième volet de Hunger Games, La Révolte (partie 1). Cette saga futuriste imagine une société dictatoriale qui utilise certains de ses adolescents comme des gladiateurs des temps modernes au cours de jeux mortels télévisés.
Ce chapitre final, adapté de la trilogie littéraire de Suzanne Collins, a été divisé en deux selon la volonté des producteurs. Le résultat donne une histoire mollassonne, ennuyeuse. Il ne se passe pas grand chose dans ce troisième volet et l'on perd l'idée de la révolte de ces gamins qui refusent de servir de chair à canon pour l'audimat. Grosse déception donc malgré le talent et le charme de celle qui porte cette série de films : Jennifer Lawrence.
Matthieu Delaporte est l'un des réalisateurs du Prénom, carton au rayon comédie en 2011. Ici, le cinéaste change radicalement de genre en racontant la vie d'une sorte de parasite social. Un homme mystérieux qui endosse l'identité des autres, en se grimant, imitant leur voix jusqu'au jour où il va choisir le mauvais modèle.
Un thriller sentimental fascinant grâce à celui qui se cache sous de multiples visages : Mathieu Kassovitz. L'artiste est à la fois un réalisateur surdoué et un acteur magnifique, même s'il sort régulièrement du cadre trop policé de la promotion et du jeu des médias en disant ce qu'il pense. Et s'il a vivement critiqué le cinéma français, pour lui, "c'est impossible de refuser de faire ce métier, qui est le métier le plus simple et le mieux rémunéré au monde."
C'est un cours d'histoire au cinéma que propose L'homme du peuple d'Andrej Wajda. Il revient sur le destin de Lech Walesa. Le film suit ce petit électricien moustachu des chantiers navals de Gdansk en Pologne au début des années 80, (date de création du syndicat Solidarnosc), dans son combat contre le communisme, la dictature polonaise, bien avant qu'il ne devienne le président de la République.
Film classique mais prenant, qui n'épargne pas l'icône Walesa, souvent présenté comme orgueilleux, colérique voire mégalomane.
Ce film fait revivre l'essor de ce qu'on a appelé la French Touch, (avant que ça ne devienne un slogan automobile). Ce terme désigne la génération de musiciens électroniques comme Air, Pheonix ou Daft punk. Il intéressera surtout les connaisseurs mais est quand même assez passionnant à suivre.
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