EN IMAGES - Fusillade à Charlie Hebdo : une minute de silence observée partout en France

EN IMAGES - De Bordeaux à Belfort en passant par Paris, le siège de l'hebdomadaire satirique ou le Palais de l'Élysée, la France a observé une minute de silence jeudi 8 janvier en hommage aux victimes de l'attentat.

Devant les locaux de Charlie Hebdo, dans le 11e arrondissement de Paris

Crédits : Yann Foreix
À Matignon

Crédits : Harold Hauzy
Au Palais de L'Élysée

Crédits : Nathalie Iannetta
Minute de silence au ministère de l'Écologie avec Ségolene Royal et Alain Vidalies

Crédits : Ministère de l'Écologie
Devant la cathédrale Notre-Dame-de-Paris

Crédits : Mathilde Lemaire
Sur la Place d'Armes à Belfort

Crédits : France Bleu Belfort
La rédaction de RTL

Crédits : RTL
Dans le hall de l'Hôtel de la Région Pays de la Loire

Crédits : Pays de la Loire
Dans le hall de l'immeuble de France Télévisions

Crédits : France Télévisions
À l'Agence France Presse

Crédits : François-Xavier Marit
L'auditorium de la Maison de la Radio

Crédits : Vanessa Descouraux
À l'École supérieure de journalisme de Lille

Crédits : ESJ Lille
L'équipe de Fun Radio

Crédits : Fun Radio
La rédaction de la chaîne Eurosport

Crédits : Guillaume di Grazzia
Devant le siège du journal Sud Ouest à Bordeaux

Crédits : Sud Ouest Bordeaux
Le public de la "Nouvelle Édition", sur Canal+

Crédits : La Nouvelle Édition

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Vingt-quatre heures après l'attentat qui a fait au moins douze victimes, dont les dessinateurs emblématiques Cabu, Charb, Wolinskiqui et Tignous, la France s'est figée jeudi 8 octobre à midi pour une minute de silence en ce premier jour de deuil national.

Du Nord au Sud du pays, d'Est en Ouest, sur les places, dans les bâtiments officiels, les écoles ou les rédactions de médias solidaires de Charlie Hebdo, devant le siège de l'hebdomadaire satirique, des milliers de personnes, arborant souvent des feuilles marquées du mot-clef "Je suis Charlie" qui a envahi les réseaux sociaux, se sont immobilisées.

Le Président François Hollande, qui avait estimé mercredi soir que "c'est la République toute entière qui a été agressée", a, lui, participé à cet hommage à la préfecture de police de Paris, qui a perdu deux membres dans l'attaque menée contre Charlie Hebdo.

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