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Comment notre coeur sera soigné dans les années à venir
REPLAY - Les maladies cardiovasculaires représentent aujourd'hui 25% des décès en France. Jusqu'où peuvent aller les recherches ? Les réponses de Michel Desnos, professeur de cardiologie à l'hôpital Georges-Pompidou.
Le cœur humain (illustration)
Ce mardi 29 septembre, c'est la journée mondiale du cœur. Dans le monde chaque année, 17,5 millions de personnes meurent en raison de maladies cardiovasculaires et une femme sur trois en décède, selon la Fédération mondiale du cœur, initiatrice de l'événement. Sur RTL, le professeur Michel Desnos se félicite que l'"on meurt beaucoup moins d'infarctus du myocarde" grâce aux "progrès techniques considérables". Autres bonne nouvelle : "L'avenir de la cardiologie sera beaucoup moins liée à des opérations classiques à thorax ouvert". Sans oublier le cœur artificiel ("qui n'est pas une solution miracle") et la thérapie cellulaire.
Notre cœur sera confronté à plus de maladies chroniques
Le professeur Michel Desnos