Accident de Jules Bianchi : y a-t-il eu une erreur dans l'organisation du Grand Prix du Japon de Formule 1 ?
REPLAY - Le pilote français de Formule 1 est toujours dans "un état critique mais stationnaire". Ebola : 24 heures après la contamination d'une aide-soignante d'un hôpital espagnol, trois nouvelles personnes ont été placées sous surveillance et hospitalisées en Espagne. Bastien Millot, le cofondateur de l'agence de communication Bygmalion, accuse Nicolas Sarkozy, à propos du système de double facturation mis en place par l'UMP. - L'essentiel de l'actu, du 7 octobre 2014.
Accident de Bianchi : "je ne regarderai plus la F1 du même œil", déclare un ami
Selon un communiqué de sa famille, relayé par l'écurie de Formule 1 Marussia, Jules Bianchi souffre d'une "lésion axonale diffuse", une forme sévère de traumatisme cérébral. Le pilote français est toujours dans "un état critique mais stationnaire".
Y a-t-il eu une erreur dans l'organisation du Grand Prix du Japon de Formule 1 ?
Un accident dans le cadre de la course, c'est le risque que tu prends. Mais là aujourd'hui, voir ce qui s'est passé, je dirai que c'est une connerie humaine. Un jeune plein d'espoir et de volonté stoppait sa carrière dans ce genre de conditions. Cela me met en colère. Je suis un passionné de Formule 1 mais je pense que je ne la regarderai plus du même œil.
Christian, ami de la famille du pilote
Ebola : 3 nouvelles personnes ont été placées sous surveillance en Espagne
Trois nouvelles personnes qui présentent des risques de contamination par le virus Ebola ont été admises à l'hôpital Carlos III de Madrid. L'une d'entre elles est le mari de l'aide-soignante qui a contracté le virus en soignant deux missionnaires malades.
Cet homme serait celui qui présente le plus grand risque de contamination, même s'il ne présente aucun symptôme. Joint au téléphone, il se demande : comment sa femme a pu tomber malade ?
Affaire Bygmalion : Bastien Millot accuse Nicolas Sarkozy
Bastien Millot, le cofondateur de l'agence de communication Bygmalion, juge qu'il est "difficile de penser que Nicolas Sarkozy n'était au courant de rien" concernant la possible facturation occulte de sa campagne de 2012.
