Valérie Trierweiler n'avait "pas choisi d'être Première dame"

Valérie Trierweiler n'avait pas choisi d'être Première dame. L'ancienne locataire de l'Élysée signe la préface du livre La glace à la vanille d'Alain Deloche, le fondateur de Médecins sans frontières et de Médecins du monde, rapporte BFMTV. Elle explique que ce rôle lui a été imposé. 

"Nous étions alors au début du quinquennat et je m'interrogeais sur le sens de l'engagement qui devait être le mien. Première dame, je n'avais pas choisi de l'être !, écrit la journaliste de Paris Match. Je l'étais devenue par la force de l'histoire, parce que j'étais la compagne du président nouvellement élu", poursuit-elle en introduction de l'ouvrage.

Au passage, Valérie Trierweiler revient sur la façon dont elle s'est approprié la fonction, dont le statut n'est pas défini dans les textes. Elle souligne que "même si aucun statut juridique ne définit le rôle d'une première dame, en revanche, la tradition veut qu'elle se penche sur le sort de ceux - et ils sont nombreux - qui lui écrivent, parce que désespérés de constater que la société les laisse au bord du chemin".