Le grand gagnant du deuxième tour des élections départementales est l’alliance UMP-UDI, qui remporte 66 départements. Au siège de l'UMP, c'est l'euphorie. Pourtant Nicolas Sarkozy, imité par Laurent Gerra, minimise. "En ces heures graves où la France commence à opérer son redressement spectaculaire, vous croyez que qu’est-ce qu’on attend de nous c’est qu’on fasse la fête ? Eh ben non. Pas de triomphalisme déplacé, dès à présent on se met au travail avec comme seule préoccupation l’intérêt des Français", explique-t-il.
La Parti socialiste s'est-il finalement battu tout seul ? "Ah ben c’est pas notre campagne qui nous a fait gagner, hein ! Deux-trois meetings vite fait, avec tout juste des chips et du saucisson, hein, franchement, on s’est pas foulés", ajoute l'ancien président. "Il n'y avait qu’à laisser faire, j’vous dis ! Entre les frondeurs, le 49-3, la loi Macron et les écolos, les socialos y se battent tout seuls, et nous on compte les points".
Deux-trois meetings vite fait, avec tout juste des chips et du saucisson
Nicolas Sarkozy imité par Laurent Gerra
Le deuxième tour des élections départementales aura donné lieu à 1.614 duels et 278 triangulaires. Avec trente départements perdus au profit de la droite, le Parti socialiste est le grand battu de ces élections. Pour François Hollande, imité par l'humoriste, c'est "l'amère défaite". Il affirme qu'il ne faut pas rester sur un échec. "Il faut travailler, il faut reconstruire, en vue de 2016". 2017, corrige mademoiselle Jade. "Noooon, 2016 ! L’Euro 2016 !", insiste le Président.
Les scores réalisés par le Front national dans certains départements continuent de susciter beaucoup d’émotion au siège du Front national. Jean-Marie Le Pen, imité par Laurent Gerra, déplore que le parti n'ai pas réussi à remporter l'Aisne, le Vaucluse ou le Pas-de-Calais. Il avait d'ailleurs écrit une chanson en l'honneur de l'Aisne, sur l'air du titre Hélène de Rock Voisine :
L'Aisne,Je m'appelle l’AisneJe suis un départementPas comme les autres
L'Aisne,Mes urnes ne sont pas pleinesDe voix pour Le PenJe n'ai rien d'autre
Valéry Giscard d'Estaing raconte qu'au second tour, il s'est mis en route à 17h15 pour effectuer mon devoir électoral au bureau de vote. Sauf qu'arrivé sur place, il a trouvé porte fermé. À cause de l'heure d'été... mise en place par lui-même en 1976.
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