Laurent Gerra imitant Philippe de Villiers : "Ce monsieur Dard est la honte de la classe politique"
Ce mercredi 21 février, Laurent Gerra imite Philippe de Villiers qui se range du côté des féministes, Enrico Macias qui ne veut pas qu'on lui trouve une "fille casher", et "Grosses Têtes" qui révisent leur émission spéciale ski.
Le ministre des Comptes publics Gérald Darmanin est l'objet d’une nouvelle enquête. Après l'affaire de la call-girl, il est désormais accusé d'avoir permis l'accès à un logement à une femme en échange d'un rapport sexuel. Qu'en pense Philippe de Villiers ?
"Ce monsieur Dard est la honte de la classe politique", réagit le créateur du Puy du Fou, imité par Laurent Gerra. "Darmanin !", corrige Mademoiselle Jade. "Je le sais, la bougresse ! J'ai réduit à dessein le patronyme de ce sinistre individu. Puisqu'il pense avec son dard, il mérite aussi d'en porter le nom ! Hashtag balance ton porc !", réplique son interlocuteur.
Il reprend donc le célèbre hashtag féministe à son compte ? "Absolument. Je suis du côté des féministes. Hashtag Me Too. Hashtag Ni pute, Ni soumise. Hashtag Ne me libérez pas je m'en charge. Hashtag Un enfant si je veux quand je veux. Hashtag Osez le clitoris", poursuit Philippe de Villiers.
"Je vous avoue que c'est assez déstabilisant d’entendre les slogans féministes célèbres dans votre bouche", concède Mademoiselle Jade.
"Il faudra t'y faire, la gueuse. Contre les porcs qui décrédibilisent la classe politique, je milite désormais avec mes sœurs féministes, ces combattantes courageuses qui brûlent leurs soutiens-gorge en agitant impudiquement à la vue de tous leurs seins nus gonflés de ferveur militante, des seins de toutes les formes, de toutes les tailles, aux tétons qui pointent vers les cieux tels les clochers des églises", s'écrie le souverainiste, toujours imité par l'humoriste.
"Mais voilà que je suis moi-même en proie au désir et me transforme en Gérald Darmanin, vite, il faut que je m'autoflagelle avec des orties fraîches ! Ah, Seigneur, délivre moi du vice ! Vade retro, Satanas !", lance-t-il.
