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Pour Michel Drucker, Laurent Delahousse "n'est pas un mec bien"

Dans les colonnes du "Parisien", Michel Drucker reproche à Laurent Delahousse d'avoir demandé sa place pendant des années, menaçant même de quitter France 2 si on ne lui donnait pas la case du 19 heures le dimanche.

Michel Drucker le 16 juin 2018
Crédit : PATRICK FOUQUE/SIPA
Amandine Bégot

Ce matin dans la presse, il y a comme un air de règlement de comptes. On commence avec Michel Drucker qui dit du mal ! C'est suffisamment rare pour être signalé. On a plutôt l'habitude de le voir vanter les mérites et les talents de tous ceux qu'il côtoie. Changement de ton ce matin et le moins qu'on puisse dire c'est qu'il n'y va pas par quatre chemins.

Michel Drucker tire à boulets rouges sur Laurent Delahousse. "Ce n'est pas un mec bien", lance-t-il dans les colonnes du Parisien/Aujourd'hui en France. "De toute ma vie je n'ai jamais critiqué un confrère. Mais là, c'en est trop", explique l'animateur.

Et d'ajouter : "Il a demandé ma place pendant près de dix ans. Chaque saison, il menaçait la direction de partir s'il n'avait pas le 19 heures alors que j'étais une locomotive pour son journal. Au départ, je ne le croyais pas. Jusqu'au jour où il l'a dit ouvertement. Ça m'a peiné. J'ai trouvé ça surréaliste. Il a été d'une inélégance incroyable. C'est même le ballon d'or de la discipline", tacle Drucker.

"En interne je ne suis pas le seul à le penser", poursuit l'animateur qui va bientôt entamer sa 55e année de carrière je ne suis pas le seul à le penser. Il raconte avoir écrit à Laurent Delahousse , qui lui a d'ailleurs répondu. "Il a essayé de me faire croire qu'il était la courtoisie incarnée (...) Je n'ai aucune rancune, aucune, mais j'ai de la mémoire !", conclut-il. Nous voilà prévenus.

"On va droit dans le mur" prévient Bartoli

Marion Bartoli règle aussi ses comptes. Dans les colonnes de l'Équipe, la joueuse qui est désormais consultante pour la télévision dresse un constat très alarmant de l'état du tennis français et surtout de la formation. Là aussi les mots sont durs. "On va droit dans le mur. Si ça continue on va être la risée de tout le monde", dit-elle.

"Ce n'est pas un problème d'argent. De l'argent la fédé en a d'ailleurs beaucoup, mais elle le gâche. Ils le brûleraient, ça serait pareil", lance-t-elle. Alors qu'est-ce qui cloche ? "Les jeunes. Ils ne veulent plus s’entraîner. Je ne sais pas pourquoi, mais on ne peut plus rien leur dire", regrette Marion Bartoli  "Dès que l’entraîneur commence à demander un peu d'intensité, ils ne veulent pas. Et l’entraîneur ne peut pas faire grand chose. S'il commence à élever un peu la voix, les parents appellent derrière pour dire : 'vous ne pouvez pas parler comme ça à mes enfants'. Du coup l’entraîneur se fait taper sur les doigts et il se retrouve pieds et poings liés".

"Les enfants qui sont au CNE, le Centre national entraînement n'ont aucune conscience de l'intensité du haut niveau. Donc le CNE c'est la colonie de vacances", conclut-elle. Pas étonnant que les résultats ne suivent pas. 

Un arbitre qui inquiète

L'Équipe qui revient bien sûr aussi ce matin sur l'affiche de demain : France Uruguay, au mondial en Russie. On a appris hier soir que c'est un Argentin qui arbitrerait ce quart de finale. Un Argentin, comme ceux qu'on a éliminé en 8e de finale. L'information en fait bondir plus d'un  sur les réseaux sociaux. "Ça sent le piège", peut-on lire ce matin sur Twitter. D'autres se demandent si tout cela est bien sérieux.

"La FIfa qui a fait ce choix, en a tout à fait le droit", écrit ce matin la Provence. "Ce choix peut surprendre mais rien ne l'interdit. L'article 11.1 du règlement de la Coupe du Monde est très clair : les arbitres sont sélectionnés à partir de la liste des arbitres internationaux de la Fifa en vigueur et devront être issus d'associations membres dont l'équipe représentative n'est pas en lice dans le groupe ou match en question". C'est très clair.

Et comme une mauvaise nouvelle ne vient jamais seule, le quotidien rappelle ce matin que Nestor Pitana, c'est le nom de l'arbitre en question, n'est pas l'arbitre préféré des bleus loin de là. Ils en gardent même un mauvais souvenir. C'est lui qui officiait au Brésil au mondial 2014, lors du quart de finale contre l'Allemagne. La France avait été sortie 1 à 0. Un but sur coup franc après une faute assez légère de Paul Pogba sur Toni Kroos.

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