"Mention particulière" : Marie Dal Zotto "touchée" par le succès du téléfilm

RÉACTION - La comédienne trisomique, qui a joué le rôle d'une jeune bachelière, a ému les téléspectateurs de TF1 qui ont regardé le téléfilm "Mention particulière".

L'actrice Marie Dal Zotto, au festival TV de la Rochelle le 16 septembre 2017

Crédit : XAVIER LEOTY / AFP

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Le téléfilm a fait sensation. Diffusé sur TF1, Mention particulière est arrivé en tête des audiences du prime-time de lundi 6 novembre. Environ 5,8 millions de téléspectateurs ont suivi l'histoire de Laura, 21 ans, une jeune fille trisomique qui veut passer son bac afin de devenir journaliste. L'interprète de la protagoniste, Marie Dal Zotto, n'en revient pas.

"Je ne réalise pas encore, mais oui ça me touche. Je n'arrive pas à y croire", confie sur l'antenne de RTL la jeune femme qui a campé ce rôle aux côtés de Bruno Salomone, Hélène de Fougerolles et Jonathan Lambert.

Aux millions de Français qui ont regardé le téléfilm, Marie Dal Zotto leur exprime toute sa gratitude et espère que cela pourra aider à faire changer les mentalités. "J'espère que ça leur a plu et que leur regard change sur le handicap. Et aussi, mille fois merci", lance la lauréate du prix du jeune espoir féminin au Festival de La Rochelle.

S'il y a vraiment une suite, j'y vais à fond là

Marie Dal Zotto

Malgré un tournage "fatigant" et "intense", la jeune actrice en garde un souvenir indélébile. "J'ai tenu bon car j'ai aimé cela et dès que j'ai poussé cette porte, toute l'équipe m'a très bien accueillie", raconte-t-elle.

Une expérience qu'elle espère renouvelée très prochainement. Si elle ne s'est pas si une suite est au programme de ce téléfilm à succès, Marie Dal Zotto l'espère très fortement. "Je suis trop pressée d'y retourner, là c'était une découverte, je suis arrivée sur la pointe des pieds. S'il y a vraiment une suite, j'y vais à fond là. Donnez moi des ailes et les armes de Spiderman... Et je fonce à Toulouse", lance-t-elle. Et d'ajouter : "Je veux cette suite avec impatience".

C'est la scène qui m'a guérie

Marie Dal Zotto

Celle qui dans la vraie vie n'a jamais obtenu son baccalauréat a trouvé sa voie grâce à une amie. "C'est la scène qui m'a guérie, c'est la scène qui est ma colonne vertébrale. Cela a commencé à Voiron. C'est ma copine qui m'a proposée de faire un petit passage dans sa troupe et j'y ai pris goût", explique-t-elle.

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