Une jeune et belle comédienne commence à creuser son sillon dans le cinéma français. Elle est canadienne, on la découverte à la météo du Grand Journal de Canal +. Elle s'appelle Charlotte Le Bon et on la retrouvera dans le film de Jalil Lespert, Yves Saint-Laurent.
C'est avec beaucoup de plaisir que l'on découvrira la belle et pétillante actrice sous les traits très sophistiqués de Victoire Doutreleau, égérie mannequin d'Yves Saint-Laurent, aux côtés de Pierre Niney et Guillaume Gallienne.
Bien qu'elle est quelques années de mannequinat, elle considère ce rôle comme son "vrai premier rôle de composition".
"Parce que Victoire, telle que l'on me la présentée, c'était une femme très consciente de ses atouts, de son pouvoir de séduction, et ça c'est quelque chose que je n'ai pas dans la vie et dont je ne joue pas. Donc c'était assez particulier pour moi de me plonger dans ma féminité tout en restant très virile", explique-t-elle.
C'était difficile pour moi de devoir être sexy et d'assumer complètement le fait d'être sexy
Charlotte Le Bon
Elle confie que sa façon de séduire ne "passe pas par [son] physique" mais par son humour et son sens de l'autodérision. Et ce, même si ce physique a été pour elle une rampe de lancement à Canal + comme miss météo : "C'est une bonne base mais après il y a évidemment un truc qui compte, c'est la personnalité, nuance-t-elle. Quand j'y étais, les moments où j'ai le plus pris mon pied c'était quand je ne jouait pas de mon physique justement. C'était difficile pour moi de devoir être sexy et d'assumer complètement le fait d'être sexy."
Charlotte Le Bon a du apprendre à marcher parce que dans les années 1960-1980, la grande époque d'Yves Saint-Laurent, les mannequins défilaient de manière très particulière.
Elle raconte avoir du prendre des cours de maintien, de barre au sol, "parce qu'à l'époque la façon de bouger s'apparentait beaucoup à la danse classique", précise Charlotte Le Bon. "C'était très très important pour moi de la posséder physiquement avant même de connaître le texte. Tous les détails comptent, j'ai même appris à fumer, et je n'ai pas arrêté depuis", ajoute la comédienne.
Il a également fallu qu'elle perde son accent québécois et travailler son élocution même s'il s'est "édulcoré" depuis les 4 ans qu'elle a passés en France. Mais le problème, c'est surtout qu'il a "tendance à remonter quand [elle est] dans des scènes où [elle doit] vivre des émotions un peu plus soulignées". "Comme si je me cogne le petit orteil je vais jurer en québécois, pas en français, c'est la vraie nature qui ressort", conclut-elle.
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