VIDÉOS - Michel Polnareff fête ses 70 ans : redécouvrez cinq de ses plus grands titres

"L'amiral" a 70 ans. Né le 3 juillet 1944, Michel Polnareff fête son anniversaire, aujourd'hui. Après 48 ans de carrière, en dehors de son style mémorable, chevelure blonde abondante, lunettes de soleil blanches et vestes pailletées, l'interprète de Love me, please love me a laissé une trace indélébile dans l'histoire de la variété française. 

Une de ses particularités : il interprète ses titres en mélangeant français et anglais. Et il n'a pas fini de marquer la musique de son empreinte puisqu'il sortira un nouvel album fin 2014.

1966 : "La poupée qui fait non"

Alors qu'elle est la première de ses chansons, La poupée qui fait non est aussi son premier tube. Dévoilé en 1966, le single s'écoule à 200.000 exemplaires.

Michel Polnareff a lui-même fait plusieurs versions : en allemand, en espagnol et en italien. Des artistes comme Johnny Hallyday ou Jimi Hendrix ont repris la chanson. 

1966 : "Love me, please love me"

Chanson éponyme de l'album Love me, please love me, ce titre sorti en 1966 parle d'un homme fou d'amour pour une femme qui le rejette. 

Des paroles fortes, une musicalité qui prend aux tripes, ce tube de l'amiral reste, encore aujourd'hui, une chanson incontournable de la discographie de l'artiste.

1972 : "On ira tous au paradis"

Sans doute l'un des titres les plus marquants de l'ère Polnareff, On ira tous au paradis est sorti en 1972. 

Les paroles, parfois amusantes, de la chanson forment un message de communion et de tolérance. "Avec les saints et les assassins, Les femmes du monde et puis les putains, On ira tous au paradis", chante-t-il. 

1977 : "Lettre à France"

C'est une véritable déclaration d'amour du chanteur à son pays natal. Alors en exil aux États-Unis, Michel Polnareff chante sa nostalgie pour la France. 

L'Hexagone y est personnifié, telle une femme à qui l'on déclare sa flamme : "Depuis que je suis loin de toi, je comme loin de moi", se plaint-il.

1989 : "Goodbye Marylou"

"Tous les mots sans voix qu'on se dit avec les doigts...", chante Polnareff. Issue de l'album Kâma Sutrâ sorti en 1990, Goodbye Marylou est visionnaire puisqu'elle raconte les premiers rapports sentimentaux via le minitel, prémices de ce que seront les rencontres sur Internet.

Pascal Obispo la reprendra en 2004 pour son album Studio Fan -Live Fan.

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