"Top Chef" : "L'émission révèle des ouvriers qui sont tout-terrain", dit Thierry Marx

"M6" relance son programme "Top Chef" ce lundi soir. Les anciens candidats se mesureront aux nouveaux dans des épreuves toujours plus spectaculaires.

La finale de "Top Chef" était diffusée le 29 avril, Naöelle a remporté le chèque de 100.000 euros

Crédit : DR

Je m'abonne à la newsletter « Infos »

Top Chef revient sur M6 ce lundi 20 janvier. Ce concours culinaire réservé aux professionnels entame ainsi sa cinquième saison.

Dix anciens candidats des crus précédents participeront à la compétition. Noémie de la saison 3 sera de la partie. Elle réserve une surprise aux autres revenants en annonçant sa relation avec Quentin, 25 ans, de la saison 4. Les deux chefs se réjouissent de se retrouver à nouveaux dans l'émission.

Des épreuves de plus en plus spectaculaires

Sur les dix anciens candidats, seules 3 personnes seront retenues pour la suite de l'aventure. Ils rejoindront les nouveaux participants qui se qualifieront lors de la prochaine émission. Au total, ils seront 14 aspirants à vouloir devenir de grands chefs. Ils devront cuisiner sur un réchaud de camping, au sommet d'une nacelle ou encore sur un pont de bateau.

Pour le chef du jury Thierry Marx, "n'oublions pas que nous demandons presque tout et n'importe quoi. Top Chef est une émission hors-norme. Elle révèle des ouvriers qui sont tout-terrain et qui peuvent partir d'un réchaud à gaz pour arriver dans les cuisines d'un palace. Ce n'est pas donné à tout le monde. Leur adaptation montre que ce sont des grands professionnels. J'ai beaucoup de respect et d'humilité par rapport aux candidats".

Un épanouissement personnel

Un cuisinier doit savoir tout affronter. "Les cuisiniers sont des ouvriers d'élite qui savent s'adapter à toutes les conditions pour faire plaisir. Maîtriser le feu, le geste et le temps c'est la base", explique le chef au micro de RTL.

Thierry Marx ajoute que "Top Chef a une image de télévision saine et tant mieux si la télévision met un projecteur sur cette profession". Le travail manuel a été "dévalorisé pendant des décennies. On montre que dans ce type de profession et avec aussi les métiers de bouche on peut trouver un épanouissement personnel et social", conclut le chef.