Tanguy Pastureau : Nabilla : "La prison, c'est ouf"

Nabilla fait son retour cette semaine, dans le magazine Lui, le journal des petits porcs lubriques. Interviewé par Frédéric Beigbeder, elle se dévoile, tel Nicolas Hulot à un bûcheron barbu venu remplir ses toilettes sèches de copeaux d’érable s’il proposait de tester le produit avec lui.
 
D’abord à propos de son compagnon, Thomas, un jeune type qui va finir en vide-grenier car, à force de se faire poignarder, il est aussi abîmé qu’un vieux bol à soupe. Nabilla dit "Ce n’est pas moi, je n’ai rien fait", donc le gonze glisse tout seul sur des couteaux, il était fait pour devenir fakir. Il doit être aimanté, tout ce qui est en fer vient se coller à lui, techniquement c’est un magnet, au rayon des vis à Castorama, son espérance de vie est de deux minutes.
 

Elle parle aussi de la prison, et dit "Ca rend ouf", ça signifie que ce n’est pas de la balle. J’avais, ajoute-t-elle "envie de mourir, mais après je me suis dit que j’étais trop belle pour mourir". C’est aussi l’avis des gens qui ont bossé dessus, des ingénieurs qui ont quitté la NASA pour se consacrer à Nabilla. En prison, explique-t-elle, il n’y avait pas de fer à lisser les cheveux, et ça Amnesty International ne le dit jamais dans ses rapports.