Pascal Praud : "Ah, les beaux-parents !"

"La belle-famille, le soir de Noël, bienvenue chez les Ch'tis ou rendez-vous à Marienbad", lâche Pascal Praud. "Ils ne sont quand même pas jojos, les Massonnaud". Personne n'échappe à ça !

"Vous m'aiderez à ouvrir les huîtres ? Chez vous parents, vous diriez 'non'. Mais là vous répondez : 'J'arrive, belle-maman !', poursuit le journaliste. "Belle-maman qui se prend pour Ménie Grégoire, conseillère conjugale", ajoute-t-il.

Il y a aussi beau-papa, "qui roule en Mercedes, parce que les voitures allemandes c'est solide et que ça dure". La belle-famille, c'est "le service après-vente du mariage", lance Pascal Praud. 

La belle-famille, c'est le service après-vente du mariage

Pascal Praud

"C'est Noël. À 2,2 grammes, votre beauf - le bien nommé - vous embrasse sur la bouche. Votre belle-sœur a dégrafé un bouton de son chemisier. Quelle famille ! L'enfer, c'est les autres une année sur deux", raconte-t-il.

"Pourquoi tes parents donnent-ils toujours la plus grande chambre à ton frère ? La maison de vacances n'est pas chauffée, ils sont radins en plus, on se les gèle".

"Belle-maman, l'oncle Albert n'est pas venu cette année ?"
- "Mais mon petit Jean-Jacques, Ondeline ne vous a pas prévenu ? L'oncle Albert est décédé".

"Allo maman bobo, la famille ça fait penser à la famille. J'veux retourner dans la mienne : Vivement l'année prochaine !", conclut Pascal Praud.