Le journal de 18h : Nicolas Sarkozy accusé d'avoir fait pression sur France Télévisions

REPLAY - Selon Le Canard enchaîné, l'ancien président de la République aurait fait pression pour empêcher la diffusion d'un reportage.

Un micro RTL

Crédit : RTL

Le journal de 18h : Nicolas Sarkozy accusé d'avoir fait pression sur France Télévision

00:15:05

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L'information est révélée par le Canard Enchainé : Nicolas Sarkozy serait intervenu auprès de Michel Field, le patron de l'information de France Télévision, pour empêcher la diffusion d'une enquête d'Envoyé Spécial le mettant en cause dans l'affaire Bygmalion. Michel Field, pour sa part, dément, tout comme l'entourage de Nicolas Sarkozy.

Ce mercredi 7 septembre, un ancien Président de France Télévisions affirme avoir subi des pressions lorsqu'il était à la tête de la télé publique. Pour le reconduire, Nicolas Sarkozy aurait demandé à Patrick de Carolis de virer Laurent Ruquier, Frantz Olivier Giesbert et Patrick Sébastien.

Le sujet d'Envoyé Spécial repose sur un témoignage de Franck Attal qui est l'un des fondateurs de l'agence de communication Bygmalion, mise en cause dans l'affaire du dépassement des dépenses de campagne. Son témoignage mettrait en cause l'UMP, et par voie de fait, Nicolas Sarkozy.

À écouter également dans ce journal

- Alstom va cesser de produire des trains à Belfort, le berceau du TGV. 400 emplois sont en jeu.

- Dimanche 4 septembre, une voiture a été retrouvée à proximité de la cathédrale Notre-Dame de Paris. Le véhicule contenait sept bonbonnes de gaz, mais aucun système de mise a feu n'a été trouvé. Deux suspects sont en garde à vue.

- Ce mercredi 7 septembre, Jean-Marc Rouillan, cofondateur d'Action directe, a été condamné à huit mois de prison pour apologie du terrorisme. Il avait qualifié de "courageux" les terroristes du 13 novembre qui ont perpétré les attaques de Paris.

- Selon un sondage TNS Sofres-OnePoint pour Le Figaro et LCI, Marine Le Pen, quels que soient ses adversaires, arrive toujours première au premier tour de l'élection présidentielle de 2017.

- Lundi 5 septembre, Easy Jet a refusé d'embarquer Nicolas Morvan, un passager hémiplégique qui avait précisé sont handicap lors de l'achat du billet. La compagnie n'avait pas d'assistance spécialisée dans l'appareil et a refusé l'embarquement au client.

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