Valérie Trierweiler : la Première dame qui ne s'est jamais habituée à l'Élysée
REVUE DE PRESSE - En une de "Paris Match", Valérie Trierweiler raconte ses ressentis quant à son ancienne fonction de première dame.
"La politique est un monde où la trahison est
payante et ce ne sont pas mes valeurs", déclare Valérie Trierweiler dans le dernier numéro de Paris Match.
Outre les révélations concernant une possiblerelation entre François Hollande et Julie Gayet, l'ancienne première dame aura aussi laissé l'image d'une femme ne voulant pas se soumettre à la fonction qu'elle
occupait.
J'ai grandi dans un HLM. Il y a eu un énorme décalage avec l'Elysée
Valérie Trierweiler
A l'instar de son modèle Danielle Mitterrand, Valérie Trierweiler ne souhaitait pas être "une potiche", dans l'ombre du chef de l’État. Elle admet avoir mal anticipé sa venue et son rôle à l’Élysée : "Je me suis retrouvée sous les dorures. Les gens le savent peu, mais ma mère était caissière et mon père, amputé d'une jambe. J'ai grandi dans un HLM. Il y a eu un énorme décalage". Elle reconnait avoir été "chanceuse".
Le monde violent de la politique
Même si elle était auparavant journaliste et côtoyait le
monde de la politique, Valérie Trierweiler y découvre ses règles. "J'ai appris malgré moi à mettre un peu
d'eau dans mon vin", admet-elle à Paris Match.
L'ancienne première dame aura donc été obligée de se
forger une carapace, tout au long de la première moitié du mandat du chef de l’État. Après la publication du communiqué de presse mettant fin à sa relation
avec François Hollande, "elle est rentrée chez elle, n'a allumé ni radio
ni télévision et a visionné un film sur son ordinateur", raconte le magazine.
