A l’UMP, les résultats de ce premier tour desélections départementales sont pris, nous dit-on, avec beaucoup de prudence, de gravité et de réserve. Nicolas Sarkozy, imité par Laurent Gerra, pousse la chansonnette :
On va gagner plein d’cantons / Ohé la vie est belleQui c’est qui la eu dans l’fion / Aujourd'hui j’ai des ailesOn va gagner plein de villes /Ce s’ra la joie de vivreQui c’est qui l’a dans l’baba /Oui c’est FrançoisAllez, casse-toi / Sarko, Sarko est là !
Ni-niii !
La probable victoire de la droite et du centre est-elle due au retour de l'ancien chef de l'État ? "Cette victoire, c'est le travail de toute une équipe. Des hommes et des femmes formidables, dans tous les cantons, dans tous les départements", répond-il. Avant de poursuivre : "Mais bon, hein, force est de constater que je suis là alors oui, bon, si on gagne j’y suis p’têt pour kek'chose, hein, modestement..."
Sa nouvelle devise ? "Ni-ni". Il poursuit : "Dorénavant vous pouvez m’appeler Ni-Nicolas".
Contrairement à ce que prévoyaient les sondages, le FN n'est pas arrivé en tête du premier tour des départementales. Au siège du mouvement, l'ambiance est au beau fixe.
"Ich bin jovial ! Moi qui d’habitude ne sommeille que d’un œil, j’ai dormi comme un bébé, après cette belle soirée élector-HEIL", confie Jean-Marie Le Pen à sa fille. Celle-ci le met en garde et lui explique qu'il va falloir affronter un second tour difficile.
Le premier tour des départementales n'a pas été aussi catastrophique pour le PS qui, avec les diverses autres gauches, arrive en deuxième position. François Hollande, imité par Laurent Gerra, lance un message à la nation : "Le François bien peiné parle aux Français désorientés : cette semaine, le président va aller à la messe et à la foule".
Le chef de l'État ajoute : "Pour commencer, je vais faire appel auprès du conseil de l’Europe. La fessée est interdite, et on vient de s’en prendre une grosse. C’est pas normal ! Une grosse fessée, alors qu’on a rien fait !"
Après la défaite du XV de France face à l'Angleterre dans le tournoi des VI Nations, Patrick Sébastien explique que pour consoler les Bleus, la troisième mi-temps s’est prolongée beaucoup plus que prévu. "Pour leur remonter la grappe, je les ai emmenés dans un club de Soho (le quartier chaud de Londres) dans un club incroyable, 'By Denaèze'", explique l'animateur imité par l'humoriste. Le lieu a une spécialité typiquement "rosbeef" : le Crunch.
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