"Depuis le premier jour, je me prépare à démonter des mensonges". La cour d'appel de Paris a infirmé l'ordonnance de non-lieu dont Georges Tron avait bénéficié à l'issue de l'enquête déclenchée par des plaintes de deux anciennes employées.
Accusé de viols, l'ancien ministre se dit "surpris" par cette décision de justice. Selon lui, "43 mois d'instruction démontrent les mensonges des plaignantes (...) mais sont contredits par ce jugement". Georges Tron a donc décidé de se "pourvoir en cassation".
Le maire de Draveil (Essonne) accuse ses accusatrices d'être "manipulées par l'extrême droite de Draveil", menée par "le beau-frère de Marine Le Pen", qui aurait, selon lui, "payé leurs avocats". Georges Tron se dit "dans le même état d'esprit qu'il y a trois ans : trois décisions m'avaient donné raison. La quatrième me contredit. Je vais prouver à la cinquième que je dis la vérité".
Alors que la cour d'Evry avait mis en avant des "réalités peu flatteuses pour Georges Tron", l'ancien ministre balaie "ces quelques lignes écrites sur la base de témoignages directement par ceux qui ont inspiré cette affaire". Et de rappeler que ses accusatrices "ont été licenciées, dont l'une pour détournement de fonds publics (...) Des faits qui ont été avérés".
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