"Comme toujours, on surjoue la dramatisation", a affirmé l'ancien ministre sur le plateau de l'émission "C Politique" sur France 5 à propos du vote de confiance de mardi, le deuxième en cinq mois pour Manuel Valls. Il a toutefois ajouté : "J'espère qu'il y aura la confiance, même si je ne la vote pas. Pourquoi ? Parce qu'on serait en risque institutionnel dramatique s'il n'y avait pas de confiance".
"La dissolution, la démission du président : tout cela ce sont des fantasmes. Nous n'avons aucun intérêt aujourd'hui à avoir une dissolution, ou une démission du président, parce que ça veut dire qu'en plus d'une crise politique, économique et sociale, nous aurions une crise institutionnelle", a insisté l'élu. Pour autant, il a assuré si tel devait être le cas, que la droite est aujourd'hui "prête à gouverner".
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