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L'eurodéputé UMP, Jérôme Lavrilleux, le 24 avril 2014 à Paris (Archives).
Crédit : AFP / PATRICK KOVARIK
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Les mots sont ambigus, parfois crus. Ceux d'un "homme blessé", selon l'hebdomadaire Le Point qui rapporte les propos de Jérôme Lavrilleux. Selon l'eurodéputé UMP, dont les révélations sur l'affaire Bygmalion ont poussé Jean-François Copé à démissionner, "personne n'a eu le courage de dire stop à Nicolas Sarkozy" au sujet du dépassement des dépenses lors de la campagne présidentielle de 2012.
Ni les cadres du parti, ni lui "qui ne le voyai(t) que lors des meetings. Le reste du temps, c'est Lambert [le directeur de la campagne du candidat Sarkozy] qui passait commande". Depuis Bruxelles ce mercredi, le conseiller général de l'Aisne a néanmoins démenti ces propos auprès d'un journaliste de BFM TV.
Le Point rapporte cependant des propos très durs à l'encontre de l'establishment du parti d'opposition. "Le problème dans ce milieu, c'est qu'il y a des gens morts de l'intérieur : Baroin, Juppé. Copé ne l'est pas. Fillon non plus, lui, il est complexé de l'intérieur, il est dans l'auto-émasculation tout en ayant besoin de prouver sa virilité", aurait ainsi déclaré Jérôme Lavrilleux.
Avant d'ajouter : "Wauquiez c'est une raclure. Nathalie Kosciusko-Morizet, ce n'est pas une belle personne. Le Maire est très sympa et vivant, alors qu'il a l'air d'un poisson froid. Sarkozy, c'est le plus vivant de tous, mais à quoi ça sert ?"
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