L'attaque est venue après quelques minutes d'interview. Questionné sur sa relation avec les États-Unis sur TF1 et Europe 1, mercredi 4 juin, Vladimir Poutine a vertement répondu aux attaques d'Hillary Clinton.
L'ancienne Première dame des États-Unis avait comparé l'action du chef de l'État russe en Ukraine à celle d'Adolf Hitler dans les années 30. Qu'en pense Vladimir Poutine ? "Il est préférable de ne pas débattre avec les femmes [...]. Les déclarations de ce genre ne sont pas un très bon argument", a-t-il lâché. Et de conclure sur le sujet : "Pour une femme, la faiblesse n'est pas un défaut."
Une déclaration qui n'a pas laissé Valérie Trierweiler indifférente. L'ancienne compagne de François Hollande a indiqué, sur Twitter, être "heureuse de ne pas avoir à serrer la main de Poutine" :
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