Nicolas Vanier poursuit son voyage en Sibérie

Nicolas Vanier continue son aventure l'Odyssée Sauvage, avec une fatigue qui commence à se faire ressentir et des problèmes inattendus.

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Une rivière parfois trop fragile

Nicolas Vanier a poursuivi son voyage par la rivière Salengé qu'il suit depuis la Mongolie. Une rivière fragile et envahie par le pack, l'obligeant à slalomer pour éviter certaines zones ouvertes ou fragiles. Il est d'ailleurs passé une fois au travers de la glace et ce sont ses chiens qui l'ont sorti du trou en accrochant leurs griffes à la surface, heureusement granuleuse à cet endroit.

Nicolas Vanier - L'Odyssée sauvage

Crédit :

Son équipe technique n'a pas eu la même chance

Alain et Fabien de son équipe technique n'ont pas eu la même chance que lui, ils sont tombés dans l'eau, perdant leur motoneige sous 2 mètres d'eau. Par chance, des habitants sont venus les sortir de là en usant de treuil et surtout d'ingéniosité. Ils s'en sortiront finalement indemnes.

Aujourd’hui, nous avons retrouvé la terre ferme et c’est à partir de ce petit village de Selemdouma que j’attaque avec les chiens la montagne, celle qui me sépare du lac Baïkal que je devrai atteindre dans quelques jours si tout va bien !

Nicolas Vanier

Une arrivée qui se fait attendre...

Malgré quelques coupures, ses chiens sont en pleine forme et Nicolas Vanier aimerait même parfois qu'ils calment le rythme afin d'éviter ses nombreuses chûtes. Il est temps pour lui et son équipage d'arriver car son traîneau commence à être un peu trop rafistolé.