Cet homme était devenu une énigme impossible à résoudre. Le violeur n'avait laissé ni empreinte digitale, ni trace ADN sur les lieux du crime . Les policiers ne connaissaient que son visage, capturé par des caméras de surveillance du métro. Pendant près de dix ans, les enquêteurs de la Brigade de protection des mineurs (BPM) de la police judiciaire parisienne ont dû réaliser un travail de fourmi pour retrouver sa trace.
L'enquête les a conduit jusque dans une prison bordelaise. Loin d'être un inconnu des services de police, l'homme avait déjà été condamné pour des agressions sexuelles.
En garde à vue, le suspect s'est emmêlé les pinceaux et a fourni aux enquêteurs des explications laborieuses. Mais lors d'une perquisition au domicile familial, ces derniers ont finalement effectué deux trouvailles inespérées qui ont fait pencher la balance. Ils ont d'abord mis la main sur le manteau que le suspect portait le jour des faits. Ils ont ensuite retrouvé un bout de papier froissé. Une banale facture de téléphone portable en apparence. Mais pas n'importe quel modèle. Selon sa jeune victime, il s'agissait de celui que l'agresseur portait en main pour filmer le viol.
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