Tanguy Pastureau : Hollande, c'est un Chuck Norris sans poils

Le Japon avait déjà lancé le bar à chats, qui consiste  à boire en touchant des chats. Il y a un bar à chats à Paris, dans le Marais, où il co-existe avec 400 bars à hommes, c’est le même concept mais avec des moustachus qui ont l’allure de Philippe Martinez, le leader de la CGT.

Le Japon a aussi créé le resto où on pêche soi-même son poisson, donc bientôt, en cas de commande d’une andouillette, ils donneront au client une arbalète et lâcheront 12 porcs dans l’établissement.

Et cette semaine a ouvert à Tokyo le premier bar à lait maternel. Trois jeunes mamans sont disposées derrière le zinc, et au lieu de jouer au Keno en sifflant des bières, on peut boire leur lait. Elles le tirent, comme dans l’Amour est dans le Pré, et c’est 15 euros le verre.  
 
Bien sûr, comme pour toute offre de service, il y a une version premium, et pour 5000 yens, ou 40 euros, ou 328 francs pour Nicolas Dupont-Aignan, il est possible de téter l’une des dames tandis qu’elle vous caresse la tête.

C’est direct du producteur au consommateur, un mélange de la philosophie de la confédération paysanne et de celle d’Etam Lingerie.