C'est une énigme judiciaire vieille de 25 ans qui est sans doute en passe d'être élucidée. Dans l'affaire du meurtre de Ghislaine Marchal en 1991, des expertises ADN viennent de livrer un autre nom que celui du jardinier Omar Raddad. Toutes les vérifications se focalisent désormais sur cette trace ADN mélangée au sang de la victime sur la porte de la cave où elle avait tracé l'inscription "Omar m'a tuer".
Selon nos informations, cet ADN appartient à un homme déjà condamné pour violences il y a quelques années et enregistré à l'époque au Fichier national automatisé des empreintes génétiques (Fnaeg). L'avancée est capitale pour Omar Raddad, selon son avocate Sylvie Noachovitch. "Tout ce qu'il veut, c'est que la personne qui a commis le meurtre soit condamnée et lui veut être innocenté", explique-t-elle au micro de RTL.
Si la contre-expertise confirme l'identité de la trace ADN, l'homme s'il est toujours vivant sera entendu par les enquêteurs. Pour l'instant, son empreinte ne fait pas de lui un meurtrier mais bel et bien le nouveau suspect numéro un.
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