"C’est tout ce qui ressort, pour l’instant de ce trop plein d’impétrants, qui font des ronds dans l’onde médiatique mais qu’on oublierait quasiment le lendemain s’ils ne déchiraient pas à belles dents Nicolas Sarkozy celui qu’ils ont servi parfois si aveuglement autrefois", note Nicolas Domenach. Ainsi "le désopilant Jean-François Copé, qui est sorti de son divan comme d’une tranchée et n’a pas hésité à lancer sa campagne en reprenant le mot d’ordre du général Joffre à la bataille de la Marne : 'On ne recule pas'". Le "général Copé" assure qu'il n’a pas été associé au gouvernement précédent ? "Cela ne manque pas d’air, car il était le chef du groupe parlementaire majoritaire puis le président nommé du parti sarkozyste !". Mais, pour le journaliste, "face à l’ennemi numéro 1 Nicolas Sarkozy, qui ne fait plus peur, toutes les amnésies sont permises".
Nicolas Domenach explique qu'à droite "la critique contre un président Tartarin, rouleur de mécaniques et de mots, mais en réalité faiblard, fuyant les réformes difficiles, fait très mal". C'est celle qu’a développée François Fillon, qui décrit son ex-patron comme colérique et vulnérable aux humeurs de l’opinion, hésitant à prendre des risques, prudent, et surtout "répugnant à ne pas être aimé". C’est cette "vacherie" que balance aussi Nathalie Kosciusko-Morizet avec son affaire de "greffage de couilles".
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