Laurent Gerra imitant José Bové : "J'ai lancé les infusions des deux biques"

REPLAY - José Bové se lance sur le marché de la détox, dont Karl Lagerfeld est un grand adepte ; le vinyle, comment ça marche ? ; et quand Léo Ferré faisait du slam sans le savoir.

Laurent Gerra

Crédit : Elodie Grégoire

Je m'abonne à la newsletter « Politique »

Comme chaque année à cette époque, les spécialistes de la santé nous recommandent de nous détoxifier l’organisme afin de soulager notre foie et de perdre quelques kilos superflus au passage. José Bové se lance sur ce marché de la détox. "Force est de constater que compte tenu du prix du pétrole qui s’effondre, mes briquettes combustibles caca-sciure sont moins compétitives. Donc forcément, on se diversifie à ma ferme de Montredon", explique le pourfendeur de la malbouffe, imité par Laurent Gerra. Il explique avoir mis au point une gamme de tisanes dépuratives bios. "On s’est un peu inspiré des infusions des Deux Marmottes et on a lancé Les infusions des deux biques", dit-il, précisant qu'on y trouve "du pisse-en-lit et du chie-dans-la-cour".

Karl Lagerfeld est un grand adepte de la détox. "Si je veux fermer ma minerve en dentelles, je ne peux pas avoir le cou de poulet de Jean-Paul Gauthier ou le teint de Galliano", lâche le couturier, imité par l'humoriste.

Le vinyle, comment ça marche ?

La mode du disque vinyle se confirme. Selon des études récentes de l’industrie musicale, les ventes de ce support pourraient bientôt dépasser les ventes de CD aux États-Unis. Revenons donc sur ce phénomène inattendu en commençant par un petit rappel scientifique avec Michel Chevalet. "Le vinyle, comment ça marche ? C’est simple ! Regardez bien cette maquette : de forme bien ronde, avec ce petit trou placé en son centre...", lance le journaliste scientifique imité par Laurent Gerra.

À l’époque des 33 tours, les chansons étaient gravées dans le vinyle et y restaient. Souvenons-nous, au temps du vinyle, Léo Ferré faisait du slam sans le savoir. Voilà ce que cela donnait :
La mort, la mort.
Il semble que la mort est la sœur de l’amour
La mort qui nous attend et l’amour qu’on appelle
Et si lui ne vient pas, elle viendra toujours
La mort, la mort.

La rédaction vous recommande