Les manifestations contre la réforme du code du travail ont rassemblé 132.000 personnes en France jeudi 21 septembre, soit près de 90.000 manifestants de moins que lors de la première grande journée de mobilisation. "Le flop de la CGT était prévisible, nuance Olivier Mazerolle, le syndicat n’a plus la confiance de tous ceux qui ont défilé en vain ces dernières années".
"On est dans l’incertitude, tout est encore possible", explique l’éditorialiste en soulignant que le parallèle avec les mobilisations de 1995 contre la réforme de la Sécurité sociale portée par Alain Juppé n’est pas forcément erronée : "accumulation du mécontentement face aux ordonnances, baisse des apl, augmentation de la CSG, suppression des emplois aidés, la grogne des fonctionnaires".
"Jean-Luc Mélenchon a su trouver les mots pour s’adresser à tous", poursuit-il à la veille de la grande mobilisation prévue par la France insoumise. "Emmanuel Macron ne risque pas d’être abandonné par sa majorité", tempère Olivier Mazerolle. "Entre la rue et les élus, c’est une affaire de psychologie et de guerre des nerfs", conclut l’éditorialiste.
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