Kim Kardashian "est un symbole pornographique...C'est une laideur que nous voulons tenir loin de nos internautes", a expliqué Nissi Ben Haim, rédacteur du site Kikar HaShabbat. Sur les pages de ce média ultra-orthodoxe, la starlette est cachée derrière une note de restaurant. Une censure justifiée également par sa tenue "non-conforme". Pour ces extrémistes, les femmes ne doivent pas porter de pantalon et leurs bras doivent être entièrement couverts.
Kim Kardashian n'était pas le seul problème de cette photo prise le 13 avril dans un restaurant de Jérusalem. Le couple de passage dans la ville sainte pour baptiser leur fille a été invité à dîner par le maire de la ville, Nir Barkat. Mais les plats servis n'étaient pas tous casher et l'addition, environ 600 euros, a été jugée excessive.
La star de la télé-réalité américaine n'est pas la première femme a disparaître des médias ultra-orthodoxes. À l'occasion de la marche parisienne contre le terrorisme du 11 janvier 2015, Angela Merkel et Anne Hidalgo avaient été effacées de la photo officielle par le quotidien israélien Hamevasser.
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