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Les fesses de Kate Middleton dans un quotidien australien
Le "Sydney Daily Telegraph" a publié une photo montrant le postérieur de Kate, épouse du prince William, en qualifiant de "ridicule" l'auto-censure de la presse britannique.
Une photo dévoilant les fesses de Kate Middleton, l'épouse du prince William, a été publiée ce mercredi 28 mai par le Sydney Daily Telegraph, un quotidien australien du groupe Murdoch. La presse britannique aurait refusé de publier le cliché, apparu initialement dans le journal allemand Bild. Une auto-censure jugée "ridicule" par le Daily Telegraph.
La photo a été prise en avril lors du voyage du couple princier en Australie. Elle montre une partie du postérieur de la duchesse de Cambridge, alors qu'une bourrasque de vent soulève sa robe, peu après sa descente d'hélicoptère près des Montagnes bleues, à l'ouest de Sydney.
Une étiquette "archaïque" selon le "Daily Telegraph"
Le quotidien australien affirme que la presse britannique a refusé de publier la photo par respect pour la famille royale, et estime, dans un commentaire, qu'elle se plie ainsi à "un code de l'étiquette archaïque". "Cela paraît un peu ridicule d'attendre que le reste des médias fassent de même, en particulier dans un monde où la chair et le mercantilisme vont main dans la main", écrit le journal.
L'auteur de la photo est une habitante de la région que visitait le couple, Diane Morel, qui n'a pas tout de suite réalisé ce qu'elle avait consigné sur sa carte mémoire. "C'est quand je suis rentrée chez moi et que j'ai mis la carte dans l'ordinateur que j'ai compris ce que j'avais saisi", a déclaré la femme de 47 ans, qui a promis de donner le produit de la vente de cette image à une association d'aide aux victimes des feux de brousse, un fléau qui ravage chaque année des zones entières de cette région.
En 2012, le magazine people Closer avait suscité la controverse en publiant une photo de Kate Middleton, prenant un bain de soleil sur le balcon d'une propriété privée du sud de la France, les seins nus. Le couple princier avait contre-attaqué sur le plan judiciaire, déposant une plainte au pénal visant à identifier le ou les paparazzi. Deux photographes avaient été mis en examen à l'été 2013 pour "atteinte à la vie privée".
