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Donald Trump a accepté l'invitation d'Emmanuel Macron au défilé du 14 juillet
REPLAY - Mardi 27 juin, Emmanuel Macron a convié son homologue américain et son épouse à assister au défilé du 14 juillet.
Emmanuel Macron et Donald Trump lors du G7 en Italie, le 26 mai 2017
Crédit : MANDEL NGAN / AFP
Donald sera bien à Paris mi-juillet. Invité à assister au défilé du 14 juillet à Paris, le président américain a répondu favorablement à l'invitation d'Emmanuel Macron ce mercredi 28 juin. "À cette occasion, des soldats américains participeront à ce défilé aux côtés de leurs camarades français", a indiqué l'Elysée, rappelant que le défilé commémorerait cette année "le centenaire de l'entrée des États-Unis dans la Première Guerre mondiale".
La présence de Donald Trump, qui sera sans doute accompagné de son épouse, place de la Concorde pour le traditionnel défilé militaire s'apparente à un nouveau coup d'éclat diplomatique pour Emmanuel Macron après le sommet qu'il avait organisé avec le président russe Vladimir Poutine le 29 mai à Versailles.
Le programme précis de cette première visite de Donald Trump en France n'était toutefois pas encore arrêté ce mercredi 28 juin, a précisé l'Élysée même s'il est déjà confirmé qu'il n'accompagnera pas Emmanuel Macron à Nice dans l'après-midi. Le président français doit en effet y rendre hommage aux victimes de l'attentat jihadiste, qui avait fait un an plus tôt 86 morts et 434 blessés.
Une décision loin de faire l'unanimité
Cette invitation du chef de l'État français à son homologue américain était loin de faire l'unanimité alors que les deux hommes avaient affiché plusieurs désaccords depuis leurs prises de pouvoir respectives. Les relations entre les dirigeants français et américain ont été jusqu'à présent rugueuses, Emmanuel Macron défiant notamment son homologue américain qui a décidé de sortir de l'accord de Paris sur le climat en parodiant son slogan de campagne par cet appel : "Make our planet great again".
Le chef de l'État français avait également fait couler beaucoup d'encre en résistant à la poignée de main virile de Donald Trump lors de leur rencontre à Bruxelles.
