"C'est quand on est au fond de la piscine qu'on donne le coup de rein nécessaire pour remonter à la surface", lance Olivier Mazerolle, qui se montrait très alarmiste la semaine dernière sur les conséquences d'une sortie de la Grèce de la zone euro, et qui garde néanmoins espoir aujourd'hui. "Cette fois, c'est le moment de prendre le sens des réalités et de définir les priorités", poursuit-il.
Le journaliste rappelle que le différend avec Athènes porte sur "une somme équivalent à 0,5% de son PIB, lequel représente 2% du PIB de la zone euro". Il note que "pendant ce temps-là, on néglige les conflits qui nous cernent : guerre larvée en Ukraine, Proche-Orient en feu, attentats en Tunisie, en Égypte et au Koweït". À ses yeux, c'est une "histoire de fou".
Pour Olivier Mazerolle, la restructuration de la dette grecque est "possible, à la condition que les Grecs changent de registre". Premier signe positif : la démission du ministre des Finances, Yanis Varoufakis, qui "se comportait comme un margoulin dans un bazar oriental".
En le mettant dehors, Tsipras montre qu'il a peut-être la capacité de mettre de l'ordre dans son gouvernement
Olivier Mazerolle
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