Après plus d'un mois de guerre, la Russie s'est engagée à réduire les combats autour de Kiev. Une annonce saluée et qui est une "nécessité opérationnelle", selon Florent Parmentier, secrétaire général du Cevipof, chercheur associé au centre HEC Paris. Pour le journaliste à l'Opinion Jean-Dominique Merchet, il s'agit "du point de départ des négociations". L'Ukraine réclame encore des garanties de sécurité, tout en acceptant une certaine neutralité.