La gauche passera les fêtes toujours aussi divisée. Tant qu'elle n'aura pas trouvé comment parler à nouveau à ses électeurs, tant qu'elle criera à l'unité sans expliquer sur quoi elle doit être basée, et comment y parvenir, elle continuera de fêter Noël à des tables séparées. Christiane Taubira se fait toujours désirer, Yannick Jadot, Jean-Luc Mélenchon, le communiste Fabien Roussel, passent maintenant la moitié de leurs interviews à devoir dire pourquoi ils refusent les mains tendues par les uns ou les autres, ou pourquoi il est trop tard pour la primaire voulue par Anne Hidalgo.