Ukraine, menace russe, dissolution... Écouter l'interview exclusive d'Emmanuel Macron sur RTL/M6

Clémence Guetté, députée LFI du Val-de-Marne et vice-présidente de l'Assemblée nationale, regrette jeudi 27 novembre que l'ancien chef de l'État ait invité Sébastien Lecornu à ne pas se priver de cet outil parlementaire dans les débats sur le budget.

Laurent Wauquiez a soutenu l'idée d'une primaire ouverte avec des candidats allant "de Gérald Darmanin à Sarah Knafo". Invité de RTL ce mercredi 26 novembre, le ministre de la Justice a resserré le spectre de la droite.

Le président de la République, en déplacement en Afrique, a accordé une longue interview à RTL et M6, dans laquelle il revient notamment sur les menaces qui pèsent sur la France.

Le président de la République est revenu, dans un entretien exclusif sur RTL, sur le discours du chef d'état-major des armées au congrès des maires de France. Selon Emmanuel Macron, le propos du général Fabien Mandon a été "déformé" et "sorti de son contexte".

Invité exceptionnel de RTL et M6, Emmanuel Macron revient sur le plan proposé ces derniers jours par les États-Unis. Pour le chef de l'État, "la seule question à laquelle on n'a pas de réponse, c'est : est-ce que la Russie est prête à faire une paix qui soit une paix durable ?".

Le chef de l'État a expliqué, lors d'un entretien sur RTL, que l'une des "principales menaces" à venir pour les pays de l'Union européenne et de l'Otan était "la Russie".

Une pétition réclame la mise en place de wagons réservés aux femmes sur l'ensemble du réseau Transilien. Une "régression" pour Marguerite, qui a fait fuir un homme alors qu'il tentait de violer une femme dans le RER C.

Marguerite a reçu la médaille de la région Île-de-France pour avoir secouru une femme victime d'une tentative de viol dans une rame du RER C, le 16 octobre dernier.

Après la mort de Mehdi Kessaci à Marseille, Emmanuel Macron a fustigé "les bourgeois des centres-villes qui financent les narcotrafiquants".

Le maire de Marseille a critiqué la décision de Bruno Retailleau, à l'époque ministre de l'Intérieur, de ne plus doter la ville de Marseille d'un préfet de police de plein exercice.