Michel Cymes explique que tout le monde n'est pas égal face au froid. Plusieurs éléments sont à prendre en considération pour expliquer cela. D'abord, le patrimoine génétique, la thyroïde et le pourcentage de graisse sont autant de facteurs pouvant modifier le rapport au froid des individus. Le mode de vie aussi car la pratique du sport permet d'augmenter le métabolisme de base.
Autre différence majeure, la production de testostérone qui aide à réguler les molécules réceptives au froid. Cette hormone est produite en beaucoup plus grande quantité chez les hommes, ce qui suffirait à expliquer pourquoi ces derniers sont moins frileux, explique le médecin.